[sur la route du chateau]
Il croisa sur le chemin du chateau, un groupe d'hommes qui trainait avec eux quelques carcasses d'animaux fraichement chassées, le plus grand s'approcha de lui et le regarda à la lueur de sa torche. Un chevalier tira un léger coup sur les rennes de son cheval, qui s'arrêta dans un hennissement et se planta devant Guillaume.
Nou nou, wat doet een man, gekleed met een pij, midden in de nacht in een zo somber woud? Zou het geen plunderaar zijn?
L'homme à cheval regarda derrière lui, comme pour s'assurer de ce qu'il allait dire n'allait pas se retourner contre lui puisque lui même était en train de faire du braconnage avec ses gens.
Non monseigneur Je suis français, je voyage de nuit car je n'ai pas eu le coeur de m'arrêter dormir dans des bois justement trop noir. Mais ce qui me mène ici ce sont les « de ligne »
Hum, l'ami, prend ceci et continue sur ta route! Dit-il dans un français impeccable.
Le seigneur lui lança une pièce d'argent, comme si Guillaume n'avait été qu'un simple mendiant. Guillaume avait été surprit de la rencontre mais continua sa route.
Avant de repartir l'un des chasseurs offrit une torche à Guillaume. En échange ce dernier lui offrir la pièce qu'il venait de gagné
Le jour montrait ses premières lueurs et après de longues heures de marche Guillaume arriva enfin devant la grande porte en bois du dommaine. La porte était encore fermée.
[à la porte du chateau]
Il était de bon ton que Guillaume vienne se présenter quelque peu pour montrer qu'il était là.
Ne sachant pas trop sous quel langue il allait parler, puisqu’on ne lui avait donné aucune idée de la chose.
Il supposa alors qu’il était considéré comme un petit jeune mais il préféra parlais français, la langue des noble.
Il vit la grande porte qui séparait les simples de la noblesse et un garde à l’entrée afin de faire la sélection.
Guillaume fit signe au portier afin qu’il ouvre et l'accueil.
Cela se dégagé sur une grande cours et sur un grand jardin,
Tout les domaine se ressemble et son toujours aussi matériellement décoré., se dit-il.
Le gardien ouvrit la porte sous le passage de Guillaume, après l'avoir remercier il se pencha sur l'homme.
La dernière porte ouverte, on pouvait voir les membres de cette noblesse en train de débattre où de circuler.
Soudain le silence se fit totalement pour lui. Intrigué un homme s'approcha de lui.
Cela le fit frémir.
Il mit un pied sur la première marche et regarda le membres de la noblesse hollandaise qui s'approchait de lui.
Il toussota avant de prendre la parole.
Goeiedag, mijn kind!
Il se replaça mieux sa bure.
Je suis Guillaume, certain d’entre vous on déjà entendu parler de moi et m'on indiqué la route, d’autre vont apprendre aujourd’hui que j’existe.
Ik zou graag Zijne Excellentie de Heer Raboude de Ligne willen ontmoeten